vendredi 25 mars 2011

Statu quo

Peu de nouvelles sur ce blog, les journées défilant ces temps à une vitesse folle mais sans que le projet n'avance réellement. En effet, toujours rien de la part de nos développeurs américains, ce qui bloque désormais complètement notre projet. Les excuses du chef de projet et du développeur ont un relent de déjà-vu "urgence professionnelle", "urgence familiale", la semaine dernière "déménagement et pas d'accès à Internet", cette semaine même plus d'explication. Nous sommes en train de chercher des solutions alternatives, mais ce n'est pas évident non plus...
Par contre, nouvelles positives quand même dans le sens où nous avons montré notre prototype à quelques professionnels, très convaincus et intéressés par l'idée et sa réalisation...

mercredi 16 mars 2011

Du bien et du moins bien

Depuis quelques jours, notre humeur oscille entre optimisme éclatant et pessimisme noir. En effet, malgré le manque de temps et de moyens, nous avons l’impression que les choses se mettent gentiment en place. Depuis ce week-end, nous avons même un logo, que nous vous ferons découvrir ici bientôt. En revanche, toujours pas de nouvelles concrètes de notre fournisseur américain qui, lundi, nous assurait avoir passé son sacro-saint week-end à plancher sur notre projet, qui serait délivré mardi. Toutefois, hier à l’heure d’aller rejoindre Morphée, aucune nouvelle. Ce matin, silence radio. Bien évidemment, quiconque a travaillé dans des projets informatiques sait que ceux-ci n’aboutissent JAMAIS comme prévu, il n’empêche que le fait de n’avoir encore RIEN vu ne laisse rien présager de bon.

Résultats mini-sondage sur l’utilisation d’outils de bricolage


Tout d’abord, un grand merci une fois de plus à toutes celles et ceux qui nous ont fait part de leurs commentaires.

Pour ce sondage, nous avions sélectionné l’outil le plus couramment utilisé, même par les bricoleurs les moins avertis (visseuse), et deux outils réservés aux bricoleurs un peu plus avertis (perceuse marteau et scie circulaire/sauteuse). Nous constatons que les propriétaires d’une visseuse l’utilisent pour la plupart (64%) plus de 20 fois par année, donc au moins deux fois par mois. Pour la perceuse, ce pourcentage descend déjà à 35%, et à 33% pour les modèles de scie. Par ailleurs, respectivement un quart et un tiers des bricoleurs sortent leurs outils de la remise moins de 5 fois par année. Comme pour le matériel de puériculture, cela nous confirme qu’il y a une place énorme pour la mise en place de réseaux de prêt et location.

Néanmoins, nous notons une grande réserve émise par plusieurs bricoleurs avertis, qui ont tenté l’expérience du partage d’outils, mais se sont découragés du fait du mauvais état dans lequel leur matériel leur a été rendu. Malheureusement, ce problème fera toujours partie intégrante de tout concept de prêt et location, et il semble crucial d’inculquer à tout un chacun le respect des biens d’autrui.

Moins de 5 fois

5 à 10 fois

10 à 20 fois

Plus de 20 fois

Visseuse à accu

7%

12%

15%

64%

Perceuse-marteau

25%

23%

15%

35%

Scie circulaire/sauteuse

33%

20%

12%

33%

jeudi 10 mars 2011

Le principe de Peter, où lorsque l’on atteint son niveau d’incompétence

Au-delà de nos considérations philosophiques, le projet avance – dans une certaine mesure. Opération traduction du logiciel terminée, paramétrage de base en bon état d’avancement, design de base et affichage du site plus ou moins bricolés. Etape très formatrice puisque nous avons appris, manuel à l’appui, comment fonctionnait une feuille de style CSS, un template HTML etc.

Malheureusement, force nous est de constater que nous avons ici atteint les limites de nos capacités. Intégration d’un module de gestion de contenu à notre module de base ? Trop complexe, nous ne savons par quel bout prendre le problème pour l’instant.

Programmation PHP d’un module supplémentaire crucial à l’atteinte de nos objectifs ? Essayé pas pu, malgré les manuels et les aides en ligne. Contraints donc de mandater un professionnel, grosse concession sur notre maigre budget. En pensant nous éviter de mauvaises surprises, nous avons contacté l’entreprise qui produit notre logiciel, qui nous a conseillé un partenaire de longue date (le tout au Etats-Unis). Contacté, celui-ci nous a remis une offre, des délais, et un lien vers une plate-forme de gestion de projets. Très confiants, nous lui avons attribué le mandat. ET aujourd’hui, patatra…argent bloqué, projet bloqué. Depuis le jour où le contrat a été signé, avance de 50% à l’appui, plus rien. Silence radio total du développeur, emails télégraphiques du chef de projet « on s’y met », « votre projet sera priorisé », « je vais voir ce qui se passe »…mouais. La semaine dernière, nous avons visionné « The Social Network », d’où une parano montante : et s’il ne s’agissait pas d’une simple mauvaise gestion des délais et des priorités, mais d’une soudaine volonté de nous doubler et de développer cette fonctionnalité que nous pensons novatrice, pour la vendre à un gros poisson ???? Sentiment d’impuissance très désagréable puisque nous n’avons aucune emprise sur ce qui se passe à des milliers de kilomètres de chez nous. En règle générale, nous privilégions toujours les contacts locaux, et n’avons dérogé à cette règle que parce que l’entreprise connaissait bien le logiciel en question. Ça nous apprendra à ne pas nous en tenir à nos propres règles, on nous y reprendra pas.

lundi 7 mars 2011

Résultats mini-sondage sur le temps d’utilisation du matériel de puériculture

Tout d’abord, un grand merci à toutes celles qui ont pris le temps de répondre aux quatre questions posées, et de me faire part de leurs commentaires.
En résumé, un rapide survol des plus de 90 réponses reçues montrent clairement qu’une bonne partie des multiples articles de puériculture dont nous faisons (presque) tous fièrement l’achat pour être parés à toute éventualité lors de la venue au monde de Junior No1 passe autant de temps au fond d’une armoire qu’en état d’utilisation.
Les résultats en chiffres :
Côté utilisation, le maxicosy sort grand vainqueur : 27% des participants l’ont utilisé au moins une année, 36% durant 9 mois. 27% l’ont utilisé pendant 6 mois, et 6% pendant 3 mois. Multiplié par 2 ou 3 enfants par famille, et en tenant compte de l’aspect sécuritaire des trajets en voiture, et donc de la nécessité d’un maxicosy conforme et bien entretenu, l’achat paraît relativement raisonnable.
Passons maintenant au parc. Nous avons été relativement surpris de voir que 33% des personnes ayant répondu au sondage ont utilisé leur parc pendant 18 mois (par enfant), et 18% pendant 12 mois..bravo ! Il n’en reste pas moins que 24% des sondés ne l’ont utilisé que pendant 3 mois, ce qui fut notre cas au vu du fait que nos enfants n’ont jamais supporté de rester dans leur parc. Pour le parc, il semble que soit on devient adepte et on utilise longtemps, soit ça ne colle vraiment pas et on s’en débarrasse très vite.
Passons ensuite aux youpala : 71% des personnes ayant répondu l’ont utilisé pendant 3 mois ou moins ! Seuls 2% l’ont utilisé pendant plus de 6 mois…
Résultats similaires pour le stérilisateur de biberons : 68% l’ont utilisé pendant 3 mois au moins, 18% pendant 6 mois, et 12% durant 9 mois.
1 mois
3 mois
6 mois
9 mois
12 mois
12 mois
Maxicosy
6%
27%
37%
29%
Parc
24%
13%
10%
18%
33%
Youpala
32%
41%
25%
2%
Stérilisateur biberons
37%
31%
18%
12%
Nous sont également parvenus des commentaires concernant une utilisation également très limitée du babycook, des baignoires pour bébé, et des nacelles.
Pourtant, tout ce matériel de puériculture coûte cher, répond à des normes de sécurité strictes et est donc conçu pour être utilisé plus que quelques mois. Que cela plaise ou non aux fabricants, il vaudrait la peine que ce matériel « tourne » plus et soit utilisé un peu plus intensément…
Enfin, une petite observation : plus les mamans sont « natures », moins elles ont tendance à utiliser tout ce matériel dont, disent-elles, on peut très bien se passer…que de bon sens !

mercredi 2 mars 2011

De l’intérêt économique de louer ses trésors inutilisés


Soulignons tout d’abord que pour bien des objets utilisés durant une brève période ou sporadiquement, la location s'avère moins coûteuse que l'achat.
Néanmoins, une fois un objet acheté, pourquoi ne pas le rentabiliser financièrement parlant en le louant, ou pratiquement parlant en le prêtant, à d'autres personnes ayant les mêmes besoins?
Sortons brièvement notre calculette : Achat d’une remorque à vélo pour enfants, achetée CHF 800.- et utilisée une vingtaine de fois par année, et précieusement conservée au garage le reste du temps. Admettons que cette remorque soit mise en location. Si elle trouve preneur à raison de 5 week-ends (25.-) et une semaine (50.-) par année, durant 3 ans, elle aura généré un revenu de CHF 525.-. Le jour où les enfants sont définitivement devenus trop grands pour l’apprécier, elle pourra encore être revendue, par exemple pour CHF 350.-. En fin de compte, la remorque achetée CHF 800.- aura donc généré un profit de CHF 75.- et, surtout, aura fait des heureux autour de vous...pensez-y!