mardi 22 février 2011

Coup de frein, coup de blues

Enfants malades, nuits blanches ou presque, fatigue virant à l’épuisement, cellules grises anémiques. Un petit grain de sable dans la machine et plus rien n’avance. C’est dans ces moments-là qu’on réalise la fragilité d’un projet mené en marge d’une vie de famille et professionnelle déjà biens remplies. Disparues les deux petites heures de tranquillité une fois les enfants au lit, disparues les nuits courtes mais réparatrices, et voilà un projet qui se met naturellement en hibernation…

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